Lightfall est un récit de fantasy avec une quête initiatique. Si l'histoire est assez classique dans sa construction et dans l'univers décrit, mais pourtant, elle dégage un parfum de nouveauté, de fraîcheur franchement enthousiasmante.
Les illustrations sont soignées, finement colorées façon aquarelle, trait sûr, inventif, des décors imaginatifs et beaux, la lumière est judicieusement travaillée, c'est important puisqu'elle a un rôle dans l'histoire, tout cela fait preuve d'une grande inventivité.
L'univers fantasy est lui aussi riche en idées, la quête est pleine de rebondissements, et surtout, Béa et Cad, les personnages sont très attachants. Ça m'a fait penser à Voro, la série de Janne Kukkonen, pour l'ambiance. le personnage de Cad fait, lui, plus penser à Grogro de la série Donjon de Sfar et Trondheim. Un peu niais, gentil gaffeur mais quasiment invincible. J'ai adoré ces deux personnages qui donnent tout son pétillant à cette aventure
Cette série démarre sur de très bonnes bases, j'ai vraiment hâte de découvrir la suite.
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Bienvenue à travers la fantastique épopée de Béatrice et de son ami le galdurien à travers le monde pour retrouver son grand père.
Je sais pas pourquoi mais le livre ne me tentait pas trop, c'est que quand je l'ai reçu à mon anniversaire que je me suis dit, allez je me lance ! Et je suis pas déçue.
On se trouve dans un monde magique riche, où il faut du temps pour tout comprendre et s'adapter.
Le galdurien raconte à Béatrice l'histoire du monde et en particulier celle des galduriens ce qui nous aide encore mieux à comprendre, qu'est ce que sont les flammes.
La quête principale (retrouver le grand père de Béa) va prendre de l'ampleur et évolué, mais à la fin du premier tome on a toujours pas retrouvé le grand père.
On retrouve (c'est mon avis) un peu de philosophie dans certains passages et d'autres aide directement Béa a comprendre ses émotions.
De belles rencontres, une belle aventure et un monde merveilleux. C'est un peu ce qu'il y a à retenir de ce livre (à part le nom des personnages, sinon on a l'air un peu 😅).
Voulez vous plonger dans la merveilleuse aventure de Béa et de son ami le galdurien ?
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Lightfall, c’est de la grande saga fantasy, épique et romanesque, avec des illustrations qui s’envolent parfois dans de superbes délires lyriques, lumineuses et colorées. Le trait est léger, la colorisation aquarellée, mais c’est surtout l’inventivité qui fait des étincelles, avec des décors oniriques et poétiques. Les personnages attachants, formidablement bien campés, même les personnages secondaires. Cet univers fait une grande place à l’imagination, inventif et original. Cette série continue sur un rythme effréné, la légèreté des personnages ne cache pas une certaine noirceur dans le récit, intense et grave, la thématique globale offre un parallèle avec l’action destructrice de l’homme sur la nature, amenant le jeune public à une certaine conscience éthique, c'est finement joué. C’est de la fantasy jeunesse de haute volée.
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Lightfall est une superbe épopée bien épaisse qui m'a tout de suite donner envie avec sa couverture fleurie et colorée. Ca annonce la couleur et l'intérieur remplit amplement ses promesses. Les graphismes sont superbes et beaucoup de pages sont sans texte, de quoi apprécier le talent de Tim Probert. L'histoire, elle, est tout aussi attrayante. Béa est d'un naturel anxieux. Quand son Grand Pa' adoptif -qui perd la boule- part pour une quête, elle s'empresse de le poursuivre pour le retrouver avec son chat Nimm.. Tout ce qu'elle a lu dans les livres et au fond de sa forêt va lui paraître bien effrayant dans la vie réelle. Heureusement qu'elle pourra compter sur Cad, le dernier de sa tribu, toujours optimiste. Ce trio atypique est attachant et j'ai eu un joli petit coup de coeur pour ce beau graphisme. Vivement la suite !
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Une fois n’est pas coutume, je vous présente aujourd’hui un livre jeunesse, la dernière bande-dessinée que j’ai offerte à ma fille de huit ans. Et bien sûr, nous l’avons lue ensemble.
« Dans le monde d'Irpa, Béa vit avec son grand-père, un Cochon-Sorcier fabricant de potions et gardien de la Flamme éternelle. Quand il disparaît mystérieusement, la jeune fille doit surmonter son anxiété maladive pour tenter de le retrouver. Sa rencontre avec Cad, un Galdurien aussi enjoué qu'intrépide, pourrait bien changer le cours de son destin. »
Ce premier tome (intitulé « The Girl and the Galdurian » en anglais) est une vraie réussite. Un monde imaginaire de toute beauté, des créatures menaçantes qui m’ont un peu rappelé les Skeksès de « Dark Crystal » (1982), deux héros attachants, des bestioles étonnantes, des combats épiques… Tous les ingrédients sont réunis pour combler petits et grands. Béa devra affronter ses peurs et apprendre le courage, Cad découvrira l’amitié et fera preuve maintes fois de témérité, quant au chat qui les accompagne… il est expert en ronronnements et somnolence. Et si la quête de Béa pour retrouver son grand-père allait jusqu’à changer leur monde ?
L’univers graphique de Lightfall est somptueux. Les dessins sont doux et nets, la mise en couleurs de toute beauté, les créatures gages d’une imagination débordante. Ne reste plus qu’à faire preuve de patience en attendant la sortie du second tome de cette saga de fantasy qui mettra de la couleur et du rêve dans la tête de vos enfants… et de la vôtre si vous avez gardé la flamme de votre jeunesse !
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Lightfall, la fille et le Galdurien, est une épopée dessinée généreuse. Plusieurs centaines de pages de la quête d'une jeune fille et de son compagnon de fortune pour retrouver un grand père disparu tout d'abord, parce que tout va petit à petit se compliquer.
On est dans un monde coloré et chatoyant, un monde d'après Soleil, où brille en continue une lumière artificielle. C'est très fédérateur, avec la petite carte (exhaustive et ça il faut le remarquer) en début de livre pour tout lecteur-aventurier de fantasy qui se respecte. Le ton est joyeux, doux, bon sans tomber dans le mièvre, et donc parfait pour une lecture jeunesse. Les planches sont belles.
Bref que de douceurs, pourquoi cette note d'aigreur. Et bien... Je ne trouve pas l'histoire toujours bien dessinée et il m'a fallu à plusieurs reprises relire des cases, scruter des mouvements, pour comprendre le message de l'auteur et j'ai trouvé ça dommage ou agaçant (suivant l'état d'esprit) regrettant peut-être que certains moments clefs te sortent de ta lecture quand tu y étais heureusement plongé.
Ceci râlé, j'ai été, malgré mes ronchonnages, presqu'envoûtée par cette histoire à l'univers (qui arrive à être imaginatif et original) et aux personnages attachants (oui, même toi le maudit petit rat voleur chaotique neutre).
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Lightfall, l'ombre de l'oiseau est aussi généreux que le précédent tome.
Tout aussi coloré.
On pourrait le croire moins contemplatif que son aîné mais en fait non. A deux ou trois reprises, par surprise, l'auteur nous offre, une fois la page tournée, une planche inattendue, à couper le souffle.
Ouh certes le trait est encore inégal. J'ai eu une fois encore des difficultés à comprendre ses planches obscures presqu'à chaque fois (ce qui est dommage puisque l'ombre dans ce tome s'épaissit et s'étend), et on réalise qu'il maîtrise bien mieux le dessin des anthropomorphes que des humanoïdes. Néanmoins le voyage reste très agréable et tout aussi prenant malgré l'épaisseur du volume.
La quête en elle-même est contée pour les plus jeunes, donc on réalise assez tôt qu'ils sont en train de la foirer mais ça n'en rend pas moins beau le chemin et la poésie de certaines scènes. Et je dois avouer que malgré mes ronchonnages, je suis très curieuse et ai grande envie de lire la suite.
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Un an après la sortie en France du Tome 1 de Lightfall, voici la suite des aventures de Béa et Cad le Galdurien. L’oiseau Kest Ke Belenus, dont la légende dit qu’il a dévoré le soleil, est de retour après un long sommeil et souhaite détruire les Flammes qui apportent leur lumière au monde d’Irpa. Ayant survécu à une bataille contre les sbires de Kest, nos deux héros s’allient avec un Arsaï, mignonne petite créature usant d’étranges pouvoirs et de la syntaxe de Maître Yoda. Béa, toujours rongée par ses peurs dévorantes, reçoit une lettre de son grand-père cochon-sorcier disparu, qui l’enjoint à retrouver Lorgon l’Esprit des Eaux pour lui demander son aide dans le combat qui les attend. La quête continue et de nombreux périls attendent Béa et son compagnon de voyage le téméraire Cad.
Dans ce volume, nous retrouvons plusieurs personnages déjà rencontrés dans le Tome 1 et en découvrons de nouveaux. L’amitié entre Béa et Cad continue de s’étoffer et notre jeune héroïne commence à affronter son anxiété maladive avec davantage de conviction. Cet opus est plus sombre que le précédent (normal, Kest dévore les lumières) et les combats plus intenses encore. Les valeurs de l’amitié et du courage sont mises en exergue et des choses intéressantes nous sont révélées sur l’Histoire du monde d’Irpa.
Les dessins sont toujours aussi soignés et la mise en couleurs est un ravissement pour les yeux. L’agencement des vignettes contribue à donner un rythme dynamique à l’histoire. Ma fille a une fois de plus été charmée par cette bande-dessinée fantastique tout à la fois originale et belle, qui plaira aussi sans aucun doute aux plus grands, ne serait-ce que par ses qualités esthétiques. Vivement le tome 3 !
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Une réussite que ce premier tome pour nous introduire dans le monde d’Irpa où Bea, jeune fille hyper anxieuse, côtoie des créatures diverses plus ou moins sympathiques dans un monde menacé par l’obscurité.
Son grand père adoptif est un cochon-sorcier réputé pour ses potions magiques. Il lui a confié une mystérieuse et précieuse fiole contenant une flamme et elle ne s’en sépare jamais. Le jour où son grand-père disparaît, elle rencontre Cad, un galdurien qui la sauvera plus d’une fois de situations fâcheuses. Accompagnés du chat Nimm, ils partent à la recherche du grand-père et croiseront des crabes géants, un rat voleur, des lézards, une sorcière à trois yeux, des Arsaï, des Tikkari, … et devront lutter pour leur survie tout en découvrant progressivement des secrets leur permettant peut-être de sauver la lumière.
Le jeu des couleurs et des lumières est fabuleux et donne un grand charme à cet ouvrage ! L’auteur alterne les épisodes lumineux et chaleureux avec des épisodes bien plus sombres et obscures. J’ai beaucoup aimé le personnage de Béa, ses appréhensions, sa façon de les gérer : elle en est très crédible ! Le dessin est très explicite : lorsque l’angoisse la saisit, des traits sombres et ondulés l’entourent, la ceignent jusqu’à l’étouffer si elle ne se ressaisit pas. De plus son visage est, en toutes occasions, très expressif et rend bien compte de son ressenti.
J’ai moins aimé le dessin réservé à Cad, je le trouve trop grossier. Cependant comme il s’agit d’un galdurien et que je n’en ai jamais vu ˄˄… je ne peux juger de la ressemblance. Par contre j’ai aimé ce personnage pour sa psychologie, son dynamisme optimiste, son humour et sa bonne parole. Je pense qu’il cache bien son jeu et se montre plus simple qu’il n’en a l’air. Il a une force hors du commun et repousse loin la peur.
Je suis restée sur ma faim car je n’avais pas compris qu’il s’agissait d’un premier tome. Ainsi l’histoire est inachevée et en plein suspens, forcément. La bonne nouvelle c’est que l’histoire durera plus longtemps !
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Coup de cœur pour ce roman graphique exceptionnel ! J'ai été agréablement surprise et je suis tombée amoureuse de ce magnifique récit.
Lightfall envoûte, fascine, transporte et éblouit. C'est un ouvrage qu'il est impossible d'oublier parce qu'il marque au plus profond du cœur avec ses illustrations exceptionnelles et son intrigue captivante.
C'est une histoire qui défie les limites de l'imagination et qui capte notre attention grâce à l'univers riche et incroyable qu'a créé l'auteur, mais aussi grâce aux personnages tous plus attachants les uns que les autres.
Béa touche énormément par sa fragilité et l'anxiété dont elle est victime. Elle se révèle alors être une jeune fille réaliste à laquelle on peut d'identifier mais aussi une jeune fille déterminée puisqu’elle se surpasse encore et encore au fil de son aventure. Elle va énormément évoluer et changer grâce à cette quête et grâce à l’influence positive de son nouvel ami Cad, un Galdurien optimiste avec qui elle fait une très bonne équipe.
Le duo va voyager pour sauver leur monde, va enrichir leur connaissance de celui-ci, et va nous emporter avec eux pour notre plus grand bonheur. C’est tout simplement magique ! Le travail de l’auteur est admirable : son talent se perçoit à travers ses dessins, qui dépeignent un monde sublime, et le récit en lui-même, passionnant et riche.
Lightfall est un roman graphique qu'il faut découvrir sans attendre, un roman qui a ce petit quelque chose qui le rend unique, singulier et fabuleux.
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Une aventure graphique qui a tout pour me plaire.
Le dessin d'abord est très joli : doux mais avec du caractère, lumineux avec sa part d'ombre. Un aspect plus léger, pour un récit de fantasy à destination de jeunes.
Les personnages ensuite sont touchant. Bea est à la fois forte et fragile, Cad est drôle et généreux, et le grand-père est loufoque et mystérieux. Les méchants sont quand à eux très énigmatiques et bien sombres.
J'ai passé un bon moment en compagnie du duo. Encore un bon conseil de ma libraire, et mon neveu aura bien droit au tome 2 une fois que je lui aurai offert ce premier volume (oui, je fais partie de ces gens qui lisent les livres qu'ils offrent, même pas honte).
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Génial. Une superbe BD à faire découvrir et à prescrire pour passer un bon moment.
Béa vit avec son grand-père, un cochon sorcier fabricant de potions et gardien de la flamme éternelle. Béa est une petite fille adoptée et qui plus est très anxieuse. le jour où son grand-père disparaît, Béa décide de partir à sa recherche. Pour cela, elle sera aidée par Cad, un Galdurien, aussi enjoué qu'intrépide. Rien de bien nouveau me direz vous, sauf qu'ensemble, ils vont affronter le Temple maudit, la vallée de la Pince, échapper à une armée féroce de lézards, sauvé un Arsaï, combattre des tentacules. Vous voyez, tout un univers fantastique où l'aventure bat son plein.
Cette Bd est un hymne à l'amitié et au courage, le tout accompagné de magnifiques dessins. Bref, vivement le tome 2 !
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- Sssssssssuper lecture jeunessssse que ccccce livre là ! Plein d'aventure, d'acttttttttttion et sssssssurtout avec moi, le grand Ssssssnabla !
- Hum, hum, tu n'es pas seul héros de ce livre, Snabla. Il y a surtout Zelli, notre nouvelle amie, elle n'aurait rien réussi sans nous, qu'il s'agisse d'Hugo et de ses puissantes pattes d'ours-hibou, ou surtout de moi et mon savoir incommensurable ! Mais je te rejoins sur un point, Snabla, ce livre est vraiment plaisant à livre, et je m'y connais en livres !
- Ouais, ccccc'est d'ailleurs toi qui a remarqué que le livre n'avait vraisssssssssemblablement pas zzzzzzété relu avant de passssssser à l'impresssssssion !
- Certes, mais l'erreur est humaine, Snabla, ce n'est pas si terrible s'il manque le quart d'une page de texte à cause d'une mauvaise superposition d'un dessin. Les dessins sont d'ailleurs très nombreux et expressifs, c'est un gros point fort du roman étant donné le lectorat ciblé.
- Ouais ! Mais t'es de mauvaizzze fois, Bauble ! C'est quand même Laroussssssssssssssse qui édite ççççççça, et cccccccc'est la honte d'imprimer ççççççça dans cccccet état, surtout pour des zzzzzenfants ! Nous on a pu comprendre la page parccccce qu'il y avait le Papa qui lizzzzzait, mais un enfant de 9 ans, tout ssssssssseul, il va pas réusssssssssssir !
- Heu, les copains, vous arrêtez de vous disputer ? La salade de champignons est prête, venez à table.
- Les champignons, ccccccccc'est pas ççççça qui va nourrir un grand guerrier comme moi !
- Tu ne mesures même pas un mètre, Snabla...
- Ccccccce n'est pas la taille qui compte ! Ccccccc'est la bravoure ! Cccccccc'est le courage ! Ccccccc'est clairement montré dans ccccccccette hisssssssssstoire !
- Oui, c'est vrai, de même que la connaissance, la réflexion, l'amitié, l'amour de ses proches et de sa famille.
- Ouais, la famille ! Moi, mon père...
- Teuh, teuh, teuh, assez parlé de toi, Snabla. Après tout c'est l'histoire de Zelli. Sans elle nous ne serions jamais partis à l'aventure pour retrouver nos camarades, nous n'aurions jamais affronté ce...
- Chhhhhhhhhhhut ! Tu ssssssssssssspoiles, Bauble ! Tais-toi ! Tu peux pas parler de çççççççça ! Tu peux dire que Zzzzzelli n'est pas vraiment un monsssssssstre comme nous, parccccccccce que ccccccc'est marqué derrière le livre, mais tu peux pas parler de "tu-ssssssssais-qui" !
- Oui, tu as raison, Snabla, laissons le plaisir de la découverte aux jeunes - et moins jeunes - lecteurs. Mais prévenons-les tout de même qu'ils risquent d'avoir besoin d'un bestiaire de Donjons et Dragons ou d'un accès à internet s'ils veulent savoir à quoi correspondent certains termes, et notamment les noms des races de nos camarades.
- Ouais, ccccc'est vrai que cccccc'est léger concernant les desssssscriptttttttions, mais çççççççça poussssssssse les lecteurs à sssssssssse renssssssseigner sur D&D ! Regarde, nous, pendant la lecture, le garçççççççççon potassssssait le bestiaire de la 5e édittttttttion ! Et ççççça l'a même incccccccccité à desssssssiner !
- En effet, ouvrir Dungeon Académie, c'est mettre un pied dans le monde merveilleux de Donjons et dragons, un tremplin pour les néophytes et beaucoup de clins d'oeils pour les plus connaisseurs. Tu te souviens quand on nous a parlé de la Porte de Baldur ? J'ai bien vu l'œil du Papa pétiller !
- Ah, ouais cccccccccc'est du fan-ssssssssssserviccccccccce !
- A taaaable ! Arrêtez de parler et venez prendre des forces, on va en avoir besoin pour le tome 2 !
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Cette BD est une vraie pépite pour les yeux. Le graphisme et l'univers sont sublimes. Je n'ai de cesse d'être époustouflée à chaque double page illustrée. Avec une colorisation tantôt douce tantôt sombre, cela offre à Lightfall un bon dosage pour montrer que cette épopée fantasy jeunesse a quand même son lot de noirceur. Un second tome à la mesure du premier ! Coup de cœur évidemment.
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Un tome 2 qui poursuit avec brio un tome 1 déjà superbe.
Les illustrations sont toujours aussi belles. Des aquarelles aux couleurs vives, lumineuses, un dessin créatif, des expressions réussies. L'histoire n'est pas en reste avec de la réflexion, de la poésie, de l'aventure. Et de la profondeur aussi. De la gravité même avec les personnages les plus lumineux ou léger. De la lueur même dans les plus sombres. Pas de manichéisme ici, le grand méchant Kest apparaît finalement plus nuancé que cela, et donne envie de retrouver vite la suite ! La préservation de la nature, la destruction apportée par l'homme, la mesure en chaque chose, la bonté, aller au delà des apparences... Tout cela a l'air de faire trop de bons sentiments? Et bien non, même pas. Le récit reste frais, léger, pas moralisateur mais plus réflexif.
Bref, une nouvelle très belle réussite.
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Lightfall est une nouvelle série de BD jeunesse fantasy. On y rencontre Béa, une jeune fille souvent prise d'angoisses, et Cad, un intrépide et serviable Galdurien. Tout deux vont partir à la recherche du grand-père adoptif de Béa, un cochon-sorcier.
Tim Probert a un sacré coup de crayon. On en prend plein les yeux. C'est coloré, richement détaillé, le trait est net et le monde foisonnant de beauté. C'est un gros coup de coeur visuel.
L'histoire n'est pas en reste. J'ai été happée par l'univers créé par l'auteur et la quête de nos deux héros. J'ai adoré le personnage de Cad, il est spontané et drôle, toujours prêt à aider son prochain. Son histoire et celle de Béa sont intrigantes et j'ai hâte de connaître la suite de leurs aventures.
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Très jolie découverte que cette BD Jeunesse ! Ce premier tome tient ses promesses et nous fait vivre une palpitante aventure dans un univers fantasy particulièrement savoureux. La quête aussi bien matérielle que spirituelle de Béa mêle habilement humour, action et drame. Visuellement, c'est un vrai régal. J'ai particulièrement apprécié le soin apporté aux décors ainsi que la colorisation.
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