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Quoi de mieux qu'un ouvrage sur son peintre préféré ?



Mais quelle découverte, quel plaisir j'ai pu prendre en lisant ce magnifique album.

Saviez vous que Monet était un grand fan de l'art japonais ? Que ses salles étaient remplies d'estampes asiatiques ?

Pour ma part, c'était une chose inconnue.

En plus de ses magnifiques œuvres, son talent artistique ne s'arrête pas à la peinture. Monet aimait le jardinage, c'est bien pour cela que son amour pour la botanique lui insuffle la magnifique idée de peintre les Nymphéas .



Homme discret mais curieux, passionné mais rebelle, Monet ne cesse de démontrer son authenticité en créant son propre chemin seul, en dépit des règles strictes imposées par l'Académie des Arts.

Il prône une nouvelle technique artistique : l'impressionnisme et converti d'autres peintures à son mouvement artistique.



Des illustrations colorées, vives et agréables. Les dessins choisis reflètent parfaitement l'impact de Monnet dans le monde de l'art.

Dans cette aventure, le grand frère Clara Button, Ollie, a déchiré son chapeau préféré. Un chapeau important à ses yeux puisqu’il avait été confectionné par leur mamie Elsie -une talentueuse modiste.



Sa maman, pour lui remonter le moral, l’emmène au pays magique des chapeaux: le 𝑉𝑖𝑐𝑡𝑜𝑟𝑖𝑎 𝑎𝑛𝑑 𝐴𝑙𝑏𝑒𝑟𝑡 𝑀𝑢𝑠𝑒𝑢𝑚.



Des étoiles plein les yeux, Clara y découvre le grand lustre en verre coloré, les magnifiques costumes de la galerie de la mode et, surtout, les innombrables chapeaux.



Bien décidée à réparer les bêtises de son frère, elle part seule à la recherche d’un chapelier capable de l’aider. De fabuleuses rencontres l’attendent alors…



Le charme de cet album tient, en grande partie, aux illustrations d’Emily Sutton dont le trait dynamique, les personnages sympathiques et la palette de couleurs distillent, au gré des recherches de cette touchante héroïne, un parfum absolument exquis.



C’est une jolie mise en lumière de la mode et des travaux manuels qui plait énormément à mes filles, et tout particulièrement à ma cadette, envoûtée par le monde du stylisme et du design 🧵
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Premier volume d’une série consacrée aux célèbre carnets d’atelier de l’artiste Fabienne Verdier. Cette édition établie par Alexandre Vanautgaerden, qui a conçu plusieurs expositions et publié trois livres avec l’artiste, procède comme un compte à rebours, en débutant par les quatre plus récents carnets parmi ceux qui accompagnent chacun des grands projets de Fabienne Verdier depuis 1998. Un prélude explique la manière dont l’artiste travaille, peignant le matin traversée par l’énergie particulière du début de journée, composant ses carnets l’après-midi comme une méditation analogique où s’hybrident idées et images. Viennent alors les carnets intitulés « Chant des étoiles » (2022), « Atelier nomade » (2019), « Ainsi la nuit » (2018) et « Vide / Vibration » (2017).



Initialement agencées dans des carnets de croquis Daler-Rowney Ivory, ces compositions éclectiques illustrant le cheminement de pensée créatrice de l’artiste ont ensuite été construits comme des planches grand format. Chacune de ces planches ou doubles pages réunit des citations, des photographies et collages, des croquis, des observations ou réflexions personnelles notées sur papier calque d’une écriture noire et serrée. On y croise Grünewald et Nietzche, Cézanne et Goethe, Hugo et Rimbaud, de Vinci et Malraux, Shitao et Novalis, Keats et Baudelaire, tant d’autres, des peintres, philosophes, écrivains, astrophysiciens, naturalistes… L’artiste puise dans la poésie et les essais, les textes mythologiques ou cosmogoniques, elle se nourrit des arts et des sciences, abreuve son inspiration à toutes les sources imaginables, dialogue avec son esprit au-delà du langage et des symboles, à la recherche de l’énergie pure en mouvement. Entre plongée sémiologique et kabbale fertile, ces carnets invitent le lecteur à pénétrer dans l’univers de l’artiste, à comprendre son processus créatif, la manière dont s’agencent les principes et les forces avant de prendre forme sur les toiles et dans les pigments.



A parcourir comme une promenade spirituelle, à feuilleter dans l’ordre ou le désordre comme une invitation à l’errance, à picorer pour le plaisir de la pensée ou simplement des yeux…